Ambiance studieuse mais joyeuse ce samedi 11 juin au Collège Arthur Rimbaud qui ouvre ses portes à un public tout aussi enthousiaste. Retour en quelques mots et quelques images sur cette journée pas comme les autres...
Dès l’ouverture Mme Etinoff, hôtesse d’accueil était déjà très sollicitée pour "aiguiller" les visiteurs. "Cela fait plaisir de voir les élèves sous un autre angle, avec leurs parents" se console-t-elle avec un grand sourire. C’est en effet un secret de polichinelle que de souligner la "docilité" des collégiens quand ils se retrouvent dans les girons de papa ou de maman !
M. Oubry, PLP (professeur de lycée Professionnel) chargé du champ Habitat , exhibe fièrement "les œuvres" réalisées par ses élèves de l’Atelier habitat. "Je fais la promo de la section et des métiers du bâtiment pour les futurs élèves orientés en SEGPA, argue-t-il avec son sérieux légendaire.
À gauche, sa collègue Mme Karar chargée du champ Hygiène Alimentation Services, n’est pas moins réjouie d’exposer les chefs-d’œuvre gastronomiques de ses protégés. « Au début ils étaient un peu intimidés puis ils sont allés plus spontanément et d’eux-mêmes à la rencontre des visiteurs auxquels ils proposent leurs produits » témoigne-t-elle avec satisfaction.
Grande affluence donc dans le hall ou des chants et des récitals sont exécutés par la classe CHAM (Classe à Horaires Aménagées Musique) sous l’égide de Mme Gosselin qui reconnaît que « c’est un privilège d’être à cet emplacement où les parents et les futurs élèves peuvent d’ores et déjà prendre connaissance de cette option que certains ne connaissaient pas auparavant ». Pour ainsi dire au four et moulin, « la prof toujours souriante » devait à la fois « diriger » l’orchestre et la chorale et répondre avec pédagogie aux parents qui la réclamaient de partout.
« On a chanté déjà deux fois 15 minutes. C’était top ! » conclue-t-elle ravie.
Il faut dire que les responsables l’établissent ont mobilisé tous les moyens disponibles et réquisitionné tous les personnels pour réussir cet événement qui se devait « être la vitrine du collège ».
Mais ou sont-ils ? Ou plutôt où sont-elles ?